In the video Hématome, the main character suffers from the pressures of society and its beauty standards and desperately tries to regain her self-esteem. The settings are a mixture of melancholy and beauty, where the images of "ideal women" are always in contrast to the setting of the visual narrative.
The lyrics of L'Impératrice's song are about the falsehood of romance in a world dominated by social media. Behind-the-screen relationships can obsess over aesthetics, teach only the good, and hide the flaws to the fullest.
CREDITS.-
The lyrics of L'Impératrice's song are about the falsehood of romance in a world dominated by social media. Behind-the-screen relationships can obsess over aesthetics, teach only the good, and hide the flaws to the fullest.
CREDITS.-
Direction.- Roxane Lumeret and Jocelyn Charles.
Animators.- Jocelyn Charles.
Storyboards.- Roxane Lumeret.
Production.- Remembers Studio.
Lyrics.-
Ne me parle pas de sentiments
Je sais déjà qu'on se mentirait
T'es bien meilleur quand tu fais semblant
Derrière l'écran
Plutôt qu'en vrai
Tu dis j'aime, qu'est-ce que t'aimes vraiment
Tu confonds le coeur et l'intérêt
Si tu veux jouer au compliment
Fais le plus fort
Que je le fais
Je t'ai tellement regardé sans rien dire
J’aurais pu compter tous tes atomes
J'voudrais m'en aller mais j'ai rien à fuir
J't’ai dans la peau comme un hématome
Qui sait réparer les gens qui se brisent
Personne ne voit mes yeux qui s'épuisent
Car à force d'y croire
J'oublie que ce monde est faux
Pour ne pas mourir sur ta toile
J'ai fait mettre à tes yeux des aimants
N'oublie jamais que j'suis toute à toi
Autant qu'à eux
Évidemment
Identiques, c'est la faute aux codes
On ne peut compter que sur nos doigts
Je me lève à l'heure du photocall
Pour être sûre
Que tu me voies
Je t'ai tellement regardé sans rien dire
J’aurais pu compter tous tes atomes
J'voudrais m'en aller mais j'ai rien à fuir
J't’ai dans la peau comme un hématome
Qui sait réparer les gens qui se brisent
Personne ne voit mes yeux qui s'épuisent
Car à force d'y croire
J'oublie que ce monde est faux
Je t'ai tellement regardé sans rien dire
J’aurais pu compter tous tes atomes
J'voudrais m'en aller mais j'ai rien à fuir
J't’ai dans la peau comme un hématome
Qui sait réparer les gens qui se brisent
Personne ne voit mes yeux qui s'épuisent
Car à force d'y croire
J'oublie que ce monde est faux