The video is a companion to the film telling how faced with the impending dissolution of The French Dispatch, old-school editor-in-chief Arthur Howitzer Jr. assembles the crème de la crème of the magazine's loyal expatriate journalists for one final issue, against the backdrop of the fictional city Ennui-sur-Blasé, Paris, France, three main articles unfold, pivoting around tormented genius artists, statuesque prison officers, flamboyant critics, moody idealists, conflicted ace reporters, legendary chefs, and, of course, the police.
The song is a fresh version of Christophe’s 1966 French tune. The album is a tribute to French pop music featuring popular songs by artists like Françoise Hardy, Serge Gainsbourg, Brigitte Bardot, and Jacques Dutronc.
Jarvis Cocker. Our Saturday music video. (Official Music Video). METALOCUS MUSIC PROJECT.
Credits.-
Directed by Wes Anderson
Music by @jarvisbransoncocker
Illustration by Javi Aznarez
Production by Octavia Peissel @stalktavia
Lead animation by @arnausolavila
Animation by @elliscky @diegofilios @theramtamez @abacaf @tonyboy______ @libardo. b.g @silvicenteb
Color by @conillmagic @canillas_artwork
Compositing by @eltentacle
Lyrics.-
J'avais dessiné
Sur le sable
Son doux visage
Qui me souriait
Puis, il a plu
Sur cette plage
Et dans cet orage
Elle a disparu
Et j'ai crié, crié
Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré
Oh, j'avais trop de peine
Je me suis assis
Auprès de son âme
Mais la belle dame
S'était enfuie
Je l'ai cherchée
Sans plus y croire
Et sans un espoir
Pour me guider
Et j'ai crié, crié
Aline pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré
Oh, j'avais trop de peine
Je n'ai gardé
Que ce doux visage
Comme une épave
Sur le sable mouillé
Et j'ai crié, crié
Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré
Oh, j'avais trop de peine
Ah et j'ai crié, crié
Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, oh pleuré
Oh, j'avais trop de peine
Et j'ai crié
Aline, Aline
Et j'ai crié
Aline, Aline, Aline
Aline
Aline